Travail d'initiation à la recherche

Le travail d’initiation à la recherche est un travail préparatoire au mémoire qui sera évalué lors du BLOC 2.
Il doit donner lieu à un rapport préparatoire d’une quinzaine de pages (environ 2000 signes par page) et comprenant quatre parties essentielles :

1. une table des matières commentée du mémoire. Elle a pour but de montrer comment vous pensez actuellement structurer le mémoire (et donc, de façon plus globale, votre travail) et de justifier cette structure. Il ne s’agit pas de la table des matières finale du mémoire, mais d’une première étape dans la construction de celle-ci ;
2. une bibliographie commentée comprenant une brève présentation critique d’au moins 10 sources pertinentes, constituée à partir d’une recherche bibliographique aussi rigoureuse et détaillée que possible. Elle a pour but de montrer que vous avez déjà effectué des recherches sur le sujet, et que vous avez compris quelles références sont importantes et pourquoi. Il ne s’agit pas de la bibliographie finale du mémoire, mais d’une première étape dans la construction de celle-ci ;
3. un plan de travail exposant, avec des échéances précises, les différentes étapes prévues pour la préparation du mémoire, avec comme date butoir le jour de la remise du mémoire terminé en première ou en deuxième session ;
4. un chapitre introductif (environ 10 pages) contenant :

• une présentation des enjeux du sujet du mémoire,
• un énoncé de la question de recherche qui y sera traitée,
• une explication de la méthode envisagée, détaillant les étapes par lesquelles vous passerez (et en particulier, si c’est pertinent, les étapes de collecte et de préparation des données mobilisées) et les modèles/technologies/etc. qui seront mobilisés.

Il ne s’agit pas du premier chapitre du mémoire, mais plutôt d’un résumé de ce qui y sera fait.

L’objectif du travail d’initiation à la recherche est d’amener les étudiants de BLOC1 à s’emparer de leur sujet de mémoire et de les inciter à programmer leur travail sur les deux années du master. 
Le travail d’initiation à la recherche vise également à valider que le sujet de Mémoire, que le planning proposé par l’étudiant et que les  travaux de recherche permettront de rencontrer les attentes du Mémoire en MaSTIC.

Cours ayant celui-ci comme pré-requis

Recherche individuelle sous la guidance d’un directeur de mémoire

Références, bibliographie et lectures recommandées

Guide du Mémoire MaSTIC
Guide de rédaction du Mémoire
Consultation des mémoires réalisés dans la filière STIC
Voir https://mastic.ulb.ac.be/memoires/

Informations complémentaires

Supports disponibles pour l'aide à la rédaction sur l’UV : Cours : Master en Sciences et technologies de l'information et de la communication | UV (ulb.ac.be) 
Guide de l’étudiant LTC
Guide du mémoire MaSTIC
Template Page de garde du TPM

Contacts

Sébastien de Valeriola (Président du Master STIC) : https://sebastien.de.valeriola.web.ulb.be/
Nicole Sounou (Secrétaire du Master STIC) : master.stic.ltc@ulb.be

Campus

Solbosch

Méthode(s) d'évaluation

• Travail personnel
• Présentation orale

Travail personnel

Présentation orale

Construction de la note (en ce compris, la pondération des notes partielles)

La note finale du travail d’initiation à la recherche se base :
• Sur un rapport écrit rendu par l’étudiant d’une quinzaine de pages (environ 2000 signes par page) et comprenant quatre parties essentielles (voir contenu ci-avant)
• Sur les réponses que l'étudiant apporte aux questions et commentaires formulés par le jury à propos de son rapport écrit.

Conformément aux dispositions de l’article 40 du Règlement Général des Études, la filière STIC a pris la décision d'interdire l'utilisation des modèles d'Intelligence Artificielle Générative pour la production de contenu (texte et code) dans le cadre du TPM et du mémoire. Cette décision est motivée par l'importance centrale de la rédaction scientifique dans la formation STIC (et donc au sein du panel de compétences évaluées dans le TPM et le mémoire), et de l'approche critique et nuancée que doivent embrasser les chercheurs dans les disciplines académiques correspondantes. L'utilisation de ces outils ne peut donc se faire que dans le cadre strict de l’amélioration du style (et pas de la rédaction de contenu). En d’autres termes, l'étudiant peut utiliser de tels outils pour corriger son style et son orthographe, mais en aucun cas pour rédiger du texte ou du code à sa place. Si le jury détecte des passages qui n'ont pas été rédigés par l'étudiant (ou dont il ne comprend pas tous les tenants et les aboutissants), il les considérera comme du plagiat et prendra des sanctions.  
 

Langue(s) d'évaluation

• français
• (éventuellement anglais )